Attachée au lit

Catégories : FANTASME
il y a 8 ans

Un texte plus ancien, mais qui a son charme.

A la lueur ténue des éclairages nocturnes de la rue, il contemplait sa proie, insouciante dans son sommeil.

Dormant nue et en toute confiance, elle ne se doutait pas qu'il était éveillé, penché sur elle, la dominant de toute la hauteur de son torse. Ses seins argentés par le clair de lune bougeaient doucement au rythme de sa respiration, et sa peau douce irradiait d'une douce chaleur dont se gorgeaient les pensées lubriques du jeune homme. Sa bouche entrouverte était comme une invitation à la pénétrer... A la seule pensée de ce qu'il s'apprêtait à faire à la jeune femme, une érection le saisissait déjà, qu'il plaqua contre la fermeté du matelas.

Très doucement, il entreprit de passer une longue bande de tissu sous le dos de la belle. Soulevant ses reins, il avait juste sous les yeux la colline sacrée et ses doux vallons. Il languissait de pouvoir s'occuper plus en profondeur de tous ces détails. Mais d'abord, il fallait la rendre totalement à sa merci. Il noua le lien solidement autour de son ventre, et elle poussa un petit gémissement dans son sommeil. Lentement et avec mille précautions, il déplaça les bras de la jeune femme, pour mettre ses mains le long de ses hanches. Au passage, quelques caresses frôlèrent ses deux magnifiques seins. Cela ne parut pas la déranger le moins du monde. Il noua ensuite ses poignets de chaque côté de sa taille. Perdue dans ses songes, elle était loin de se douter qu'elle était en train de devenir sa prisonnière.

Délaissant le haut de son corps pour le moment, il descendit jusqu'à ses pieds, qu'il voulait empêcher de ruiner ses plans. Sa captive n'aurait aucun recours, et surtout pas celui de le barder de coups de pied. Il lia une cheville à l'autre en nouant solidement chacune d'entre elles. Puis il attacha une corde au milieu du lien, qu'il fit passer sous le lit, l'attachant finalement au sommier. Ainsi elle ne pourrait pas aller bien loin... Et il pourrait quand même changer facilement sa position, la retourner, l'amener où bon lui semblerait! Hmm.. :-)

Il se redressa pour admirer son oeuvre. La respiration toujours régulière de la jeune femme endormie montrait qu'elle n'avait rien remarqué à son petit manège. Il posa les mains sur ses tibias et les laissa glisser le long de ses jambes, très doucement, poursuivant le long de ses cuisses divinement chaudes. Sa peau satinée semblait réagir à ce contact en se tendant vers les mains expertes qui remontaient lentement vers le bassin. Il appréciait grandement ces caresses exquises, tant visuellement que sensuellement. Il passa les doigts sur le mont de Vénus, appuyant très légèrement sur le pubis. Il frôla le sexe de la jeune femme, résistant difficilement à l'idée de plonger l'une ou l'autre de ses extrémités à l'intérieur de ses lèvres. Son propre sexe se tendait douloureusement au dessus du corps féminin si désirable, et commençait à mouiller.

Il continua son exploration tactile sur le ventre, les hanches, les courbes du torse de la jeune femme, et caressa délicatement ses seins. Ils étaient doux et très chauds eux aussi. Les tétons commençaient à poindre sous ses mains. Il suivit du bout des doigts le sillon entre ses seins, et palpa ses épaules, son cou, sa gorge brûlante. Des palpitations agitaient son membre dur, qu'il rapprocha du visage qu'il aimait tant. Il couvrit son sexe de salive, et se masturba un peu, silencieusement, en regardant sa fiancée, comme en hommage à son beau visage. Il rajouta encore de la salive jusqu'à ce que quelques gouttes tombent sur la poitrine de sa prisonnière. Posant ses mains de chaque côté de sa tête, il caressa ses joues et ses tempes. Sa bouche était toujours ouverte, et ses lèvres frémirent alors qu'elle commençait à se réveiller doucement. Il approcha encore son sexe, dont le gland gorgé de désir touchait maintenant la douce pulpe des lèvres. Prenant plus clairement en main le visage, il commença à glisser son gros sexe à l'intérieur de ses lèvres, le long de sa langue. Toute la salive promettait d'être très utile.

Sentant quelque chose dans sa bouche qui menaçait de l'étouffer, elle se réveilla tout à fait, et ouvrit des yeux ronds en découvrant ce qui lui arrivait. Elle ne pouvait pas bouger la tête, qu'il tenait à pleines mains, et elle essaya de parler, mais ses petits cris ne sortirent pas de sa gorge, qu'envahissait le sexe de son amant. Elle s'étranglait avec sa salive ou le manque de salive et se mit à tousser, ce qui ne laissa que plus de place au membre dur qui s'enfonça jusqu'au fond de sa gorge. Il ressentit une vague de jouissance à l'idée d'avoir pénétré cette bouche et en sentant la détresse de sa prisonnière. Il se retira et rajouta de la salive tout le long de son sexe, pendant qu’elle toussait et le regardait avec affolement. Puis il lui reprit la tête, et rentra dans sa bouche tout aussi fortement.

Cette fois la sensation de glissement était parfaite, et elle ne s'étranglait plus vraiment. Il poursuivit ses va-et-vients tout en tâtant son visage des mains, il sentait son sexe à travers ses joues. C'était si délicieux et grisant qu'il ne voulait s'occuper de rien d'autre pour le moment. Pendant de longues minutes il continua à prendre cette bouche experte en caresses, qui ne cherchait même plus à lutter. La langue frottait le long de son sexe et lui procurait mille plaisirs. Il butait de temps en temps au fond de sa gorge, mais son gland ne frottait généralement que contre le palais. Les lèvres couvertes de salive l'aspiraient et le rejetaient alternativement et l'excitaient plus que jamais.

Il sentait la résistance de sa captive s'émousser au fur et à mesure des coups de son sexe au fond de sa gorge. Ses jambes commençaient à se tordre, et elle tirait sur ses liens, cherchant à se trémousser plus qu'à se libérer. Son corps se tendait peu à peu vers celui qui la prenait de force. Il ralentit le rythme pour jeter un coup d'oeil à ce spectacle. Il glissait son sexe lentement dans l'antre chaud tout en regardant sa belle prisonnière frotter ses cuisses l'une contre l'autre. Il semblait bien qu'elle appréciait le traitement qu'il lui infligeait. Il tendit une main vers son entrejambe, gardant l'autre pour lui tenir la tête. Alors qu'il pénétrait encore une fois la bouche tout doucement, il en profita pour glisser un doigt entre les lèvres de son sexe. Elle secoua le bassin comme si cette intrusion la dérangeait, et il recommença avec plus d'insistance. Reprenant un rythme intense pour v i o l e r sa bouche, il la doigtait tout aussi v i o l e m m e n t. Son corps totalement dominé tressautait alors qu'elle prenait du plaisir contre son gré.

Ses mouvements incontrôlés excitaient encore plus son agresseur, qui avait à présent très envie de glisser autre chose que ses doigts dans le ventre brûlant. Il se retira brusquement et en un battement de cils, il était entre les cuisses de la jeune femme, qui n'osait plus bouger. Elle fermait ses cuisses de toutes ses f o r c e s, mais il les écarta avec bien plus de f o r c e encore, ouvrant les lèvres de son sexe. On voyait qu'il était déjà trempé, tout cela avait l'air bien accueillant. Il posa son membre contre le sexe. Il avait décidé de la pénétrer très doucement, pour en profiter un maximum. Il commença à entrer, et une sensation de chaleur intense irradia le long de son sexe.

Elle gémissait et respirait bruyamment. Il la bâillonna d'une main, et continua à entrer lentement. L'intérieur était brûlant, et se resserrait de plus en plus sur son membre, les rendant tous les deux à moitié fous de désir. Après une minute de cette t o r t u r e, il s'enfonça finalement jusqu'au fond, et elle retint un cri de surprise. Il gardait une main sur sa bouche pour l'empêcher de crier, et de l'autre prit un sein pour le malaxer, le serrer, le presser. Il prit l'autre sein entre ses lèvres et mordilla le téton qui pointait vers lui, ce qui arracha un gémissement à sa victime. Les coups de son sexe faisaient grincer le lit, et Elle le regardait à présent avec un regard fou. La main qui bâillonnait sa victime glissa sur son cou, et alors qu'il la prenait de toutes ses forces, il commença à l'étrangler. Elle se débattit un peu, puis plus du tout, totalement possédée et affolée par ce jeu. Il la regardait sombrer dans le plaisir et la jouissance, tout en donnant de grands coups de son sexe dans son ventre.

Voulant changer de position avant qu'elle ne perde connaissance, il se retira et prit le bâillon qu'il avait posé à côté du lit pour le passer à sa prisonnière. Elle se débattit un peu mais le bâillon fut bien vite mis. Il la prit alors par les hanches, et la poussa à se tourner. Elle ne pouvait pas vraiment résister, attachée comme elle l'était, mais elle se contorsionnait pour ne pas se retrouver sur le ventre. Il la tira vers le bas du lit, et elle se retrouva agenouillée au bord du lit, plaquée par le corps du jeune homme contre le matelas. Elle se débattait encore mais il lui prit les fesses à pleines mains et enfonça son sexe entre ses lèvres offertes.

Elle tourna la tête pour essayer de voir ce qui se passait, mais elle ne pouvait que sentir ce membre la pénétrer, et les caresses de son t o r t i o n n a i r e sur ses fesses. Il commença à aller et venir et elle reposa sa tête sur le lit, s'abandonnant aux fantasmes de son amant. Il saisit les hanches de la jeune femme pour la pousser à s'empaler sur lui. Son anus déjà trempé à portée de main, il entreprit également de le caresser, y ajoutant encore une bonne dose de salive. Des gémissements étouffés le poussaient à continuer ses coups de boutoir de plus en plus forts, et à enfoncer ses doigts entre ses fesses.

Il la prit ainsi pendant une éternité, et les gémissements de sa victime étaient de plus en plus forts. Elle semblait tendre les fesses vers lui à présent. Il se retira donc et glissa son gland contre son anus dilaté. Elle ne semblait plus vouloir bouger. Admirant le spectacle de son gland qui entrait tout doucement à l'intérieur de ses fesses, il se mit à lui caresser le clitoris et l'extérieur du sexe. De l'autre main il titillait l'anus qu'il était en train de pénétrer.

Tout à coup les fesses se raidirent et reculèrent sur le matelas. Une dernière tentative de résistance? Il s'enfonça de plus belle entre ses fesses, et d'un grand coup de rein pénétra jusqu'au fond. Un grand cri étouffé par le bâillon répondit à son audace. Il retira doucement son sexe, et recouvrit le tout de salive. Puis il reprit ses caresses du sexe de sa victime et commença à aller et venir dans ses fesses. Sentant que cela glissait à présent impeccablement, il accéléra ses caresses et ses coups de rein, arrachant de petits gémissements à la jeune femme.

Son membre plongeait dans l'anus et y découvrait des torrents de douceur et de plaisir. Il allait et venait de plus en plus vite, sans se rendre compte de son rythme effréné. Pour comble il se mit à donner des fessées à sa victime, qui criait de plus belle dans son bâillon. Ses doigts s'enfonçaient dans le sexe de sa prisonnière, qui semblait plus qu'aimer cette sensation. C'était si serré, si chaud et si doux. Son membre gorgé de plaisir n'en pouvait plus. Il donna deux derniers grands coups de rein et ressortit pour asperger les fesses qu'il tenait à deux mains de sperme bien blanc.

La captive laissa échapper quelques longs gémissements, et il laissa reposer son membre contre son anus. La sensation était toujours si agréable. Il contempla la scène de sa jouissance, et soupira d'un air satisfait. Elle le regardait à présent... avec un amour infini.

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